© Arnaud Bertrande - Tous droits réservés
Suite aux délibérations avec le jury, constitué de Marc Montméat, Gérald Vidamment et du photographe-invité Alain Laboile, nous vous dévoilons aujourd'hui le troisième des quatre lauréats de l'Acte III de L'Exposition Originale. Il s'agit d' Arnaud Bertrande, présentant une photographie intitulée "Family Of Cuba".
Cette photographie fera l'objet d'une première publication dans le numéro 29 de Compétence Photo, disponible en kiosque à partir du 3 juillet 2012, et sera ensuite exposée au Salon de la Photo 2012, du 8 au 12 novembre 2012.
Cette photographie fera l'objet d'une première publication dans le numéro 29 de Compétence Photo, disponible en kiosque à partir du 3 juillet 2012, et sera ensuite exposée au Salon de la Photo 2012, du 8 au 12 novembre 2012.
© Olyana Laboile
Une fois les délibérations terminées, chaque membre du jury a choisi son coup de cœur afin d'accompagner les photographies lauréates d'un commentaire expliquant ce qui a déterminé le choix du jury.
Le mot d'Alain Laboile à propos de la photographie d'Arnaud Bertrande
Cette image est aussi chaleureuse qu’apaisante. On sent à la fois de la complicité entre les enfants et leur père et de la bienveillance à l’égard du photographe. C’est une invitation à entrer dans le regard de ces deux personnes qui semblent s’arrimer au trottoir pour mieux nous garder prisonniers. Le père est solidement assis avec son fils, et la fillette est comme vissée au sol. On est alors pris au piège de ces regards doux, de ces sourires identiques, de ce petit noyau familial bien soudé au centre de l’image. Le regard ne fait que balayer furtivement l’enduit, ou le rideau de fer hors d’âge, pour revenir se planter dans une paire d’yeux. Le chien peut dormir tranquille, il est au centre de l’histoire.
Le mot d'Alain Laboile à propos de la photographie d'Arnaud Bertrande
Cette image est aussi chaleureuse qu’apaisante. On sent à la fois de la complicité entre les enfants et leur père et de la bienveillance à l’égard du photographe. C’est une invitation à entrer dans le regard de ces deux personnes qui semblent s’arrimer au trottoir pour mieux nous garder prisonniers. Le père est solidement assis avec son fils, et la fillette est comme vissée au sol. On est alors pris au piège de ces regards doux, de ces sourires identiques, de ce petit noyau familial bien soudé au centre de l’image. Le regard ne fait que balayer furtivement l’enduit, ou le rideau de fer hors d’âge, pour revenir se planter dans une paire d’yeux. Le chien peut dormir tranquille, il est au centre de l’histoire.