Photo : Hakim Boulouiz - Tous droits réservés
À l'occasion du Salon de la Photo 2018, qui se tiendra Porte de Versailles à Paris du 8 au 12 novembre 2018, Compétence Photo présentera sur son stand une grande exposition collective intitulée it's So Street, en partenariat avec Art Photo Lab, Fujifilm et Asus. Elle rassemblera les travaux de seize photographes sélectionnés suite à l'appel à auteur.
Hakim Boulouiz fait partie des seize photographes choisis par le jury. Sa série s'intitule Ishtar.
Intention
L'homme marche dans la rue. Il se partage entre le dedans et le dehors, entre le soi et la ville, entre la foire et la mer. Il marche et remarche dans les mêmes ruelles d'une portion de territoire en filigrane. Il quitte puis il revient chez lui. Dehors, des espaces incitent à la consommation et dedans une télévision en parle. L'homme veut quelque chose. En attendant de savoir quoi, il accumule les flâneries. La ville se réduit à quelques rues. Elle forme, petit à petit, un puzzle énigmatique. La ville est faite de rencontres, mais l'homme n'en fait pas. Il ne croise plus les regards malgré la foule, le nouveau cosmopolitisme et le cortège des corps. Ishtar est le nom imaginé pour cette ville imaginaire propice pour des relations probables. Ishtar devient le porte drapeau de toute ville plongée dans l'ambivalence, entre joie et tristesse, entre mur et fenêtre, entre oui et non.
CLIQUEZ ICI pour découvrir les 15 autres photographes sélectionnés pour l'exposition it's So Street.
SALON DE LA PHOTO • INVITATION OFFERTE
Nous vous offrons votre invitation au Salon de la Photo (8-12 novembre 2018).
Pour ce faire, CLIQUEZ ICI et suivez les instructions
Hakim Boulouiz fait partie des seize photographes choisis par le jury. Sa série s'intitule Ishtar.
Intention
L'homme marche dans la rue. Il se partage entre le dedans et le dehors, entre le soi et la ville, entre la foire et la mer. Il marche et remarche dans les mêmes ruelles d'une portion de territoire en filigrane. Il quitte puis il revient chez lui. Dehors, des espaces incitent à la consommation et dedans une télévision en parle. L'homme veut quelque chose. En attendant de savoir quoi, il accumule les flâneries. La ville se réduit à quelques rues. Elle forme, petit à petit, un puzzle énigmatique. La ville est faite de rencontres, mais l'homme n'en fait pas. Il ne croise plus les regards malgré la foule, le nouveau cosmopolitisme et le cortège des corps. Ishtar est le nom imaginé pour cette ville imaginaire propice pour des relations probables. Ishtar devient le porte drapeau de toute ville plongée dans l'ambivalence, entre joie et tristesse, entre mur et fenêtre, entre oui et non.
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