© Martine Marras - Tous droits réservés
Suite aux délibérations avec le jury, constitué de Marc Montméat, Gérald Vidamment et de la photographe-invitée Emmanuelle Brisson, nous vous dévoilons aujourd'hui le quatrième lauréat de l'Acte IV de L'Exposition Originale. Il s'agit de Martine Marras, présentant une photographie intitulée "Femme chinoise".
Cette photographie fera l'objet d'une première publication dans le numéro 30 de Compétence Photo, disponible en kiosque à partir du 28 août 2012.
Cette photographie fera l'objet d'une première publication dans le numéro 30 de Compétence Photo, disponible en kiosque à partir du 28 août 2012.
© Emmanuelle Brisson
Une fois les délibérations terminées, chaque membre du jury a choisi son coup de cœur afin d'accompagner les photographies lauréates d'un commentaire expliquant ce qui a déterminé le choix du jury.
Le mot de Marc Montméat à propos de la photographie de Martine Marras
"Cette photo est un petit coup de cœur personnel. La qualité du noir et blanc m’a d’emblée interpellé mais c’est bien sûr la présence de cette femme et la composition de l’image qui m’ont séduit. On entre directement dans son intimité même si ses yeux, cachés par ses cheveux, ne se dévoilent pas à nous. On découvre alors une certaine androgynie mais la finesse des traits du visage, parfaitement mise en valeur par la lumière, nous plonge dans une féminité simple et délicate. Par la courbe de la mâchoire, le photographe nous amène jusqu’aux lèvres du modèle et à son épaule que l’on devine. Toute la féminité qui se dégage de l’image n’est donc portée que par ces quelques lignes, et c’est pour moi toute la force de ce portrait."
Le mot de Marc Montméat à propos de la photographie de Martine Marras
"Cette photo est un petit coup de cœur personnel. La qualité du noir et blanc m’a d’emblée interpellé mais c’est bien sûr la présence de cette femme et la composition de l’image qui m’ont séduit. On entre directement dans son intimité même si ses yeux, cachés par ses cheveux, ne se dévoilent pas à nous. On découvre alors une certaine androgynie mais la finesse des traits du visage, parfaitement mise en valeur par la lumière, nous plonge dans une féminité simple et délicate. Par la courbe de la mâchoire, le photographe nous amène jusqu’aux lèvres du modèle et à son épaule que l’on devine. Toute la féminité qui se dégage de l’image n’est donc portée que par ces quelques lignes, et c’est pour moi toute la force de ce portrait."