© Gérald Vidamment
Ce dimanche, je me suis rendu à Paris Photo, sans nul doute l'une des plus grandes foires de la photo au monde, où plus de 40.000 visiteurs étaient attendus sur les quatre jours d'exposition. Je l'avoue, ma motivation première fut de rendre visite à François-Régis Durand, récent lauréat du concours SFR Jeunes Talents 2010 et l'un des trente photographes à avoir participé au projet La Correspondance Visuelle, organisée par le magazine pour le Salon de la Photo 2010.
J'ai donc retrouvé avec plaisir François-Régis, souriant, serein et, cela va sans dire, heureux d'être présent à ce très bel événement. Neuf de ses photos étaient exposées et proposées à la vente, dont six issues de ses voyages à Madagascar et trois prises en Turquie. De très beaux tirages réalisés par le labo Picto.
A en écouter François-Régis, les contacts ont été nombreux, chaleureux et très enrichissants. Il fut en effet confronté pour la première fois à des acheteurs étrangers (ils représentent près de 40% des visiteurs) séduits par son travail personnel, où la générosité transpire tout en délicatesse et en retenue, et par son parti pris sur le traitement de ses photographies et le choix d'une chromie emplie de chaleur et d'espoir.
A 49 ans, ce photographe voit enfin son travail sur Madagascar récompensé. Preuve en sont ces petites pastilles rouges sous les tirages, indiquant les ventes réalisées depuis quelques jours. Et cette phrase de François-Régis me montrant lesdits sésames : "Tu vois, pour moi, ces pastilles, c'est juste l'assurance que je vais pouvoir repartir là-bas..."
J'ai donc retrouvé avec plaisir François-Régis, souriant, serein et, cela va sans dire, heureux d'être présent à ce très bel événement. Neuf de ses photos étaient exposées et proposées à la vente, dont six issues de ses voyages à Madagascar et trois prises en Turquie. De très beaux tirages réalisés par le labo Picto.
A en écouter François-Régis, les contacts ont été nombreux, chaleureux et très enrichissants. Il fut en effet confronté pour la première fois à des acheteurs étrangers (ils représentent près de 40% des visiteurs) séduits par son travail personnel, où la générosité transpire tout en délicatesse et en retenue, et par son parti pris sur le traitement de ses photographies et le choix d'une chromie emplie de chaleur et d'espoir.
A 49 ans, ce photographe voit enfin son travail sur Madagascar récompensé. Preuve en sont ces petites pastilles rouges sous les tirages, indiquant les ventes réalisées depuis quelques jours. Et cette phrase de François-Régis me montrant lesdits sésames : "Tu vois, pour moi, ces pastilles, c'est juste l'assurance que je vais pouvoir repartir là-bas..."