Le 2e Prix du Prix Canson Art School a été attribué hier soir, jeudi 20 mars, à William Farges, originaire de la Dordogne et actuellement en troisième année de licence d'arts plastiques à l'Université de Toulouse II Le Mirail. Il a également été choisi par Compétence Photo en Coup de Coeur pour cette quatrième édition.
Intitulée Ligne Blanche, la série de William Farges propose, grâce à l’outil photographique combiné à une habile utilisation du cadre, une approche inédite de la représentation corporelle. L’un après l’autre, ses diptyques s’effacent naturellement au profit de projections matérialisées, véritables sculptures vivantes s’imposant au regard de tous. Et cette ligne blanche, presque rassurante, qui demeure ; comme si l’on craignait que le doute puisse d’un instant à l’autre nous échapper.
Âgé de seulement vingt-deux ans, le photographe explique sa démarche : "Ce travail s'inscrit dans la continuité d'artistes comme John Coplans, Klaus Kampert ou encore Magritte... Je fais des esquisses préparatoires de chaque photographie, puis j'expérimente ce que le corps de mes modèles est capable de faire. L'éclairage est toujours le même ; je fais ensuite des marques au sol et sur mon appareil pour que les images puissent se raccorder parfaitement."
William Farges a participé en septembre 2013 à La Correspondance Visuelle de Compétence Photo, présentée pour la première fois au Salon de la Photo de Paris 2013 puis tout récemment au Salon International de la Photographie de Riedisheim. Il fera partie des projections du Festival européen de la photo de nu (FEPN) en mai 2014 à Arles.
Découvrez le 1er Prix en cliquant ici.
Intitulée Ligne Blanche, la série de William Farges propose, grâce à l’outil photographique combiné à une habile utilisation du cadre, une approche inédite de la représentation corporelle. L’un après l’autre, ses diptyques s’effacent naturellement au profit de projections matérialisées, véritables sculptures vivantes s’imposant au regard de tous. Et cette ligne blanche, presque rassurante, qui demeure ; comme si l’on craignait que le doute puisse d’un instant à l’autre nous échapper.
Âgé de seulement vingt-deux ans, le photographe explique sa démarche : "Ce travail s'inscrit dans la continuité d'artistes comme John Coplans, Klaus Kampert ou encore Magritte... Je fais des esquisses préparatoires de chaque photographie, puis j'expérimente ce que le corps de mes modèles est capable de faire. L'éclairage est toujours le même ; je fais ensuite des marques au sol et sur mon appareil pour que les images puissent se raccorder parfaitement."
William Farges a participé en septembre 2013 à La Correspondance Visuelle de Compétence Photo, présentée pour la première fois au Salon de la Photo de Paris 2013 puis tout récemment au Salon International de la Photographie de Riedisheim. Il fera partie des projections du Festival européen de la photo de nu (FEPN) en mai 2014 à Arles.
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