Pour la troisième année consécutive, Art Photo Lab soutient Compétence Photo pour son projet d’exposition au Salon de la Photo. Pourquoi ?
Mettre en place une collaboration ne peut être envisagé que sur du long terme. De plus, accompagner Compétence Photo reste pour Art Photo Lab une manière de suivre l’évolution des photographes au plus près. Compétence Photo est un vrai magazine de l’image ; son contenu, son esprit et l’envie de relever des défis correspondent parfaitement à l’esprit de notre équipe. À travers son rédacteur en chef, Gérald Vidamment, le magazine est proche et à l’écoute de ses lecteurs photographes, comme nous le sommes auprès de nos clients.
Et puis il y a aussi la volonté de mettre en valeur, de démontrer qu’une photo prend vie dès lors qu’elle est couchée sur un papier d’art, du virtuel au réel, du rêve à la réalité. En somme, un partenariat efficace pour un bel aboutissement pour nos photographes.
Et puis il y a aussi la volonté de mettre en valeur, de démontrer qu’une photo prend vie dès lors qu’elle est couchée sur un papier d’art, du virtuel au réel, du rêve à la réalité. En somme, un partenariat efficace pour un bel aboutissement pour nos photographes.
© Art Photo Lab
L’exposition présentée au Salon de la Photo consistera en une grande mosaïque d’images, tirées sur des papiers différents. Comment choisit-on un papier pour un tirage ?
© Elvira Bondurand
Avant tout, ce projet de mosaïque d'images me semble une superbe idée mais également un joli défi car il s’agira de composer harmonieusement les papiers qui mettront en valeur l’ensemble des œuvres.
Le choix d’un papier est essentiel. C’est la continuité de l’histoire de la photo ; il est là pour la mettre en valeur sans pour autant prendre le dessus. L’humilité du papier est de ce fait primordiale. Plus qu’un choix, il peut détruire une photographie, et pour illustrer ces propos c’est avec une erreur à éviter que nous allons le faire. En effet, nombreux sont les auteurs à apprécier les papiers plus ou moins structurés ; et bien voilà une catégorie qu’il est préférable de mettre de côté lorsqu’on fait de la photo en studio et que l’auteur passe quelques heures à soigner les tons chair en réalisant du dodge and burn. Dans ce cas précis, un papier doux et lisse, qualifié de smooth ou ultra smooth, sera préférable.
Un papier structuré du type William Turner ou Muséum Etching servira plus volontiers à apporter de l’information sur une composition où les hautes lumières sont importantes, voire même surexposées ; cela aura dès lors l’avantage d’apporter de l’information dans ces zones délicates et pourra même sauver une photographie.
Après, il y a bien entendu une question de goût, mat ou satiné ; cela dépend à qui le photographe s’adresse. Pour une très grande majorité de personnes, et nous les premiers, les papiers mats ont notre préférence, restituant plus de détails sur les photographies. À l’inverse, les papiers satinés offriront une meilleure densité dans les noirs.
De nombreux facteurs entrent en ligne de compte dans le choix d'un papier. C'est la raison pour laquelle nous conseillons les photographes à la vue des œuvres à tirer. En discuter en justifiant nos préférences et ceux des auteurs permet toujours de trouver la solution idéale.
Le choix d’un papier est essentiel. C’est la continuité de l’histoire de la photo ; il est là pour la mettre en valeur sans pour autant prendre le dessus. L’humilité du papier est de ce fait primordiale. Plus qu’un choix, il peut détruire une photographie, et pour illustrer ces propos c’est avec une erreur à éviter que nous allons le faire. En effet, nombreux sont les auteurs à apprécier les papiers plus ou moins structurés ; et bien voilà une catégorie qu’il est préférable de mettre de côté lorsqu’on fait de la photo en studio et que l’auteur passe quelques heures à soigner les tons chair en réalisant du dodge and burn. Dans ce cas précis, un papier doux et lisse, qualifié de smooth ou ultra smooth, sera préférable.
Un papier structuré du type William Turner ou Muséum Etching servira plus volontiers à apporter de l’information sur une composition où les hautes lumières sont importantes, voire même surexposées ; cela aura dès lors l’avantage d’apporter de l’information dans ces zones délicates et pourra même sauver une photographie.
Après, il y a bien entendu une question de goût, mat ou satiné ; cela dépend à qui le photographe s’adresse. Pour une très grande majorité de personnes, et nous les premiers, les papiers mats ont notre préférence, restituant plus de détails sur les photographies. À l’inverse, les papiers satinés offriront une meilleure densité dans les noirs.
De nombreux facteurs entrent en ligne de compte dans le choix d'un papier. C'est la raison pour laquelle nous conseillons les photographes à la vue des œuvres à tirer. En discuter en justifiant nos préférences et ceux des auteurs permet toujours de trouver la solution idéale.
Depuis son lancement, Art Photo Lab s’est notamment fait remarquer par l'impression piezo. Quels sont les autres services qui singularisent le laboratoire ?
© Art Photo Lab
Si la piezography a été notre cheval de bataille pour faire connaître le laboratoire, il est bien évident que nos compétences ne s’arrêtent pas au noir et blanc. D'ailleurs, il me semble important de dire que l’intégralité des produits et services que nous proposons sont intégralement réalisés au sein de notre atelier.
Le tirage contrecollé sur Dibond, verni ou pelliculé, avec mise en valeur dans une superbe caisse aluminium noir mat granité reste notre produit “phare” depuis environ un an.
Lors du Salon de la Photo 2014, nous avions lancé nos propres finitions acryliques, ou plexi ; aujourd’hui c’est une finition qui remporte également un vif succès auprès des photographes, tant pour de la décoration que pour des expositions, quand le thème s’y prête bien entendu.
Plus classique mais toujours une valeur sûre, l’encadrement bois ou aluminium rencontre également l'adhésion de bon nombre de nos clients.
Aujourd’hui, nous sommes équipés en 44 pouces soit une impression jusqu'à 1,10 m de large, tant sur la couleur que la piezography pour le noir et blanc. Quelques belles innovations, dont l'annonce est prévue pour la fin d’année côté matériel de tirage, devraient voir arriver de nouvelles solutions augmentant encore la qualité de nos travaux.
Le tirage contrecollé sur Dibond, verni ou pelliculé, avec mise en valeur dans une superbe caisse aluminium noir mat granité reste notre produit “phare” depuis environ un an.
Lors du Salon de la Photo 2014, nous avions lancé nos propres finitions acryliques, ou plexi ; aujourd’hui c’est une finition qui remporte également un vif succès auprès des photographes, tant pour de la décoration que pour des expositions, quand le thème s’y prête bien entendu.
Plus classique mais toujours une valeur sûre, l’encadrement bois ou aluminium rencontre également l'adhésion de bon nombre de nos clients.
Aujourd’hui, nous sommes équipés en 44 pouces soit une impression jusqu'à 1,10 m de large, tant sur la couleur que la piezography pour le noir et blanc. Quelques belles innovations, dont l'annonce est prévue pour la fin d’année côté matériel de tirage, devraient voir arriver de nouvelles solutions augmentant encore la qualité de nos travaux.
Le site d'Art Photo Lab : http://art-photo-lab.com/fr/