Sandrine Elberg, sélectionnée pour l'exposition "ce qui nous lie"

À l'occasion du Salon de la Photo 2019, qui se tiendra Porte de Versailles à Paris du 7 au 11 novembre 2019, Compétence Photo présentera sur son stand une grande exposition collective intitulée ce qui nous lie, en partenariat avec Art Photo Lab. Elle rassemblera les travaux de dix photographes invités par la rédaction et sélectionnés suite à l'appel à auteurs.

Sandrine Elberg fait partie des dix photographes sélectionnés. Sa série s'intitule M.O.O.N.

Intention
Les images exposées sont extraites du second livre autoédité de Sandrine Elberg. Celui-ci est dédié à son travail photographique composé d'images stellaires qu'elle réalise depuis plusieurs années lors de ses voyages et expérimentations dans sa chambre noire. L'artiste nous invite au cours d'un voyage spatial à la découverte d'une nouvelle Lune, fruit d'une nouvelle découverte scientifique ou pure imagination de l'artiste ? Les livres de Sandrine Elberg sont des objets uniques et inclassables : un voyage dans le cosmos, faisant appel à notre imaginaire collectif ainsi qu'à la rêverie. À travers M.O.O.N, l'artiste a souhaité rendre hommage à Valentina Terechkova, première femme cosmonaute envoyée dans l'Espace. Le livre marque aussi les cinquante ans du premier pas de l'homme sur la Lune le 21 juillet 1969. Tous les moyens sont bons pour aller sur la Lune, en navette high-tech ou en fiction, en transports de science ou d’imaginaire. Sandrine Elberg aime les astres, la conjonction de l’infiniment grand et de l’infiniment petit, les atomes dont elle-même, petite planète à la recherche de ses origines cosmiques, procède. La Lune n’est pas pour elle une fin en soi, c’est une base à explorer, en surface et en profondeur, mais aussi d’où repartir plus loin, dans l’inconnu. Dans ses bagages, Sandrine Elberg transporte quelques livres de Jules Verne et bouts de pellicule du Voyage dans la Lune de Georges Méliès dont elle aurait aimé être l'assistante pour les trucages cinématographiques. M.O.O.N est l’habitacle d’un livre parcourant les confins, module de recherche fait de cristaux de songes et de poussière d’astres, de murs de stalactites et d’icebergs craquelés, de roches anthropomorphes et de temples effondrés. Fabien Ribery

CLIQUEZ ICI pour découvrir les neuf autres photographes sélectionnés pour l'exposition ce qui nous lie.

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