Photos : © Cyril Abad - Tous droits réservés
À l'occasion du Salon de la Photo 2017, qui se tiendra Porte de Versailles à Paris du 9 au 13 novembre 2017, Compétence Photo présentera sur son stand une grande exposition collective intitulée This is (not) America. Elle rassemblera les travaux de onze photographes sélectionnés par la rédaction.
Cyril Abad fait partie de ces onze photographes choisis par la rédaction. Sa série s'intitule The last dreamers.
Intention
Quatre mois après l'élection de Donald Trump, dans le sud des États-Unis, on assiste au déclin du rêve américain. Au travers de saynètes « de rue » parfois cocasses ou poétiques réalisées sans efets spéciaux ce reportage nous donne à voir les derniers instants du rêve américain, du moins dans sa forme originelle.
La redéfnition par Donald Trump lors de son discours d'investiture, de l' « American Dream » autour des trois piliers que sont l'interventionnisme, le protectionnisme et le populisme, risque de mettre un terme à ce bel élan gorgé d'espoir et de détruire le peu
d'illusions qu'il restait.
Ce reportage toujours en cours - Au printemps 2018, je parcourrai le Midwest pour compléter cette cartographie - est à l'image d'une pièce de théâtre qui jouerait alors une dernière scène, celle du rêve américain en une succession de tableaux surannés revisitant les différentes représentations que nous pouvons avoir des USA. Cette imagerie qui sature notre paysage visuel depuis plus de cinquante ans nous apparaît alors comme en suspens, attendant son arbitrage.
Découvrez les autres photographes sélectionnés par la rédaction en cliquant sur la liste figurant à droite.
Cyril Abad fait partie de ces onze photographes choisis par la rédaction. Sa série s'intitule The last dreamers.
Intention
Quatre mois après l'élection de Donald Trump, dans le sud des États-Unis, on assiste au déclin du rêve américain. Au travers de saynètes « de rue » parfois cocasses ou poétiques réalisées sans efets spéciaux ce reportage nous donne à voir les derniers instants du rêve américain, du moins dans sa forme originelle.
La redéfnition par Donald Trump lors de son discours d'investiture, de l' « American Dream » autour des trois piliers que sont l'interventionnisme, le protectionnisme et le populisme, risque de mettre un terme à ce bel élan gorgé d'espoir et de détruire le peu
d'illusions qu'il restait.
Ce reportage toujours en cours - Au printemps 2018, je parcourrai le Midwest pour compléter cette cartographie - est à l'image d'une pièce de théâtre qui jouerait alors une dernière scène, celle du rêve américain en une succession de tableaux surannés revisitant les différentes représentations que nous pouvons avoir des USA. Cette imagerie qui sature notre paysage visuel depuis plus de cinquante ans nous apparaît alors comme en suspens, attendant son arbitrage.
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Blaise Arnold
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