© Galerie Palladion
© Sandra Fastré
Pouvez-vous nous présenter votre galerie en quelques mots ?
Avec ma femme Christine nous avons créé la galerie Palladion il y a près de vingt ans, en 1993. Sur 200 m² et deux niveaux, rez-de-chaussée et sous-sol, nous présentons une grande diversité d'artistes, essentiellement de la région. Si la peinture et la sculpture sont les dominantes de notre activité, nous avons également exposé des graveurs et plus occasionnellement des photographes. Nous organisons régulièrement des expositions individuelles ou collectives, et même quelques événements à thème (comme "l'inachevé" ou "le faux") pour lesquels nous avons invité une trentaine d'artistes à créer des œuvres spécifiques composant des expositions ludiques et décalées.
Votre galerie se consacre principalement à la peinture et la sculpture. Pourquoi avoir accepté d'exposer des photographies ?
La photographie est un moyen d'expression et un art au même titre que les arts plastiques "traditionnels", dessin peinture, sculpture... J'apprécie personnellement la photographie et j'aurais souhaité pouvoir en présenter dans notre galerie. Mais jusqu'à présent, cela n'a été que très rarement possible. La proposition d'exposition de Compétence Photo m'est apparue comme l'occasion de combler ce manque. C'est aussi l'opportunité de faire découvrir à nos visiteurs d'autres artistes dont ils ignorent ou connaissent mal le travail.
Comment percevez-vous la démarche entreprise par Compétence Photo à travers Les Irréelles et qu'est-ce qui vous intéresse plus particulièrement dans celle-ci ?
Qu'un magazine national décide d'organiser une série d'expositions en province, c'est déjà quelque chose de remarquable. Cette initiative si peu conforme au centralisme parisien qui continue de sévir dans le domaine artistique comme ailleurs ne peut que m'être sympathique.
D'autre part, j'ai toujours considéré qu'une galerie devait être avant tout un lieu de rencontre et d'échange. J'ai retrouvé ce même état d'esprit dans Les Irréelles, qui privilégient les rencontres entre photographes, entre régions, les échanges entre photographes et public dans des lieux pas forcément dédiés à la photographie.
J'ai particulièrement apprécié le choix des photographes qui seront présentés dans notre galerie, pour leur talent et la qualité de leurs œuvres bien sûr, mais aussi pour la diversité et la richesse de leurs parcours et de leurs localisations (Paris, Lyon et Toulouse). Tout cela donne une exposition forte et contrastée, avec de vraies personnalités, et dans laquelle chaque visiteur peut trouver des œuvres qui le touchent. Que demander de plus ?
Avec ma femme Christine nous avons créé la galerie Palladion il y a près de vingt ans, en 1993. Sur 200 m² et deux niveaux, rez-de-chaussée et sous-sol, nous présentons une grande diversité d'artistes, essentiellement de la région. Si la peinture et la sculpture sont les dominantes de notre activité, nous avons également exposé des graveurs et plus occasionnellement des photographes. Nous organisons régulièrement des expositions individuelles ou collectives, et même quelques événements à thème (comme "l'inachevé" ou "le faux") pour lesquels nous avons invité une trentaine d'artistes à créer des œuvres spécifiques composant des expositions ludiques et décalées.
Votre galerie se consacre principalement à la peinture et la sculpture. Pourquoi avoir accepté d'exposer des photographies ?
La photographie est un moyen d'expression et un art au même titre que les arts plastiques "traditionnels", dessin peinture, sculpture... J'apprécie personnellement la photographie et j'aurais souhaité pouvoir en présenter dans notre galerie. Mais jusqu'à présent, cela n'a été que très rarement possible. La proposition d'exposition de Compétence Photo m'est apparue comme l'occasion de combler ce manque. C'est aussi l'opportunité de faire découvrir à nos visiteurs d'autres artistes dont ils ignorent ou connaissent mal le travail.
Comment percevez-vous la démarche entreprise par Compétence Photo à travers Les Irréelles et qu'est-ce qui vous intéresse plus particulièrement dans celle-ci ?
Qu'un magazine national décide d'organiser une série d'expositions en province, c'est déjà quelque chose de remarquable. Cette initiative si peu conforme au centralisme parisien qui continue de sévir dans le domaine artistique comme ailleurs ne peut que m'être sympathique.
D'autre part, j'ai toujours considéré qu'une galerie devait être avant tout un lieu de rencontre et d'échange. J'ai retrouvé ce même état d'esprit dans Les Irréelles, qui privilégient les rencontres entre photographes, entre régions, les échanges entre photographes et public dans des lieux pas forcément dédiés à la photographie.
J'ai particulièrement apprécié le choix des photographes qui seront présentés dans notre galerie, pour leur talent et la qualité de leurs œuvres bien sûr, mais aussi pour la diversité et la richesse de leurs parcours et de leurs localisations (Paris, Lyon et Toulouse). Tout cela donne une exposition forte et contrastée, avec de vraies personnalités, et dans laquelle chaque visiteur peut trouver des œuvres qui le touchent. Que demander de plus ?
Galerie Palladion
19 rue Colombette 31000 Toulouse
Tel. 05 61 63 69 65
19 rue Colombette 31000 Toulouse
Tel. 05 61 63 69 65
© Sandra Fastré