Le Révélateur #48 | Contemplation, de Bruno Blais | France | Auch |
Serions-nous les prisonniers modernes d'un horizon endormi ? Tel un volcan depuis longtemps éteint, cette ligne spéculative, plus éloignée qu'il n'y paraît, continuerait donc d'attiser notre soif d'évasion. À y trouver quelque passion. À en perdre la raison. C'est quand le geste commence à dessiner une telle folie en alexandrins que tout devient alors plus perceptible, que ce lien manifeste entre l'être et le lointain se fraie un chemin dans un imaginaire plus happant que jamais.
"Qu'attendent-ils ? Que désirent-ils ?" s'interroge Bruno Blais en observant ces personnages, face à la mer, face au large. "Telle une utopie, cette proposition narrative se veut à la fois poétique, philosophique et politique. Elle peut se lire à différents niveaux, selon l'actualité qui nous entoure, selon l'appropriation que s'en fera chacun(e) d'entre nous", explique-t-il. "Je laisse le spectateur apporter sa part d'imagination."
Serions-nous les prisonniers modernes d'un horizon endormi ? Tel un volcan depuis longtemps éteint, cette ligne spéculative, plus éloignée qu'il n'y paraît, continuerait donc d'attiser notre soif d'évasion. À y trouver quelque passion. À en perdre la raison. C'est quand le geste commence à dessiner une telle folie en alexandrins que tout devient alors plus perceptible, que ce lien manifeste entre l'être et le lointain se fraie un chemin dans un imaginaire plus happant que jamais.
"Qu'attendent-ils ? Que désirent-ils ?" s'interroge Bruno Blais en observant ces personnages, face à la mer, face au large. "Telle une utopie, cette proposition narrative se veut à la fois poétique, philosophique et politique. Elle peut se lire à différents niveaux, selon l'actualité qui nous entoure, selon l'appropriation que s'en fera chacun(e) d'entre nous", explique-t-il. "Je laisse le spectateur apporter sa part d'imagination."
Photos : © Bruno Blais - Tous droits réservés